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hellau a écrit :RE:
j'oubliai: est ce qu'il y a une agence à Ceuta ou à Tanger Med :nous sommes venus avec un allez simple par la GNV (Sète/Tanger).
Amicalement
Bonjour,
pas de problème pour les agences à Ceuta comme à Tanger Med.
Effectivement lorsque les "rafiots" de la IMTC fonctionnent normalement, aucun soucis. Malheureusement les incidents ne sont pas rares, et leur assurance presque inexistante.
A mon sens "il vaut mieux prévenir que guérir" et payer un peu plus cher pour de moindres risques.
Mais ce n'est qu'un avis.
Amicalement.
Alain
jaje 13 a écrit :A chacun son avis mais quand tu dis un peu plus cher il serait plus normal de parler de PLUS DU DOUBLE.
que je sache, pas plus du double à 200 € si je sais encore compter, mais certainement dans des conditions normales de sécurité.
Dans quelques années les tarifs auront doublé, et les gens prendront toujours le bateau...
Amicalement.
Alain
alain53 a écrit :Dans quelques années les tarifs auront doublé,
Pas forcemment, pas premiére traversée il y a dix ans m'avait couté 280 €, billets achetés dans une agence Euromer. Depuis nous avons connu Gut, et ses tarifs, à mon avis, compétitifs. Pour mémoire en 200? billets à 100€, prix coutant sans doute.
Par ailleurs je ne pensais que mon info allait soulever autant verbe,
Cdt à ts
Lorsque nous avons payé 100 € en 2004 ou 2005 c'est parceque les compagnies assurant la traversée du détroit se sont livrées à une concurrence farouche.Certain CCars ont achetés des places au port à 70€.
Le mail que j'ai reçu de IMTC,agence se trouvant sur le port d'Algésiras , m'indique un total de 98€ pour une traversée aller/retour avec 1 CCar+2 personnes .La traversée ailleurs étant de 200€ fait donc plus du double. Ceci dit nous avons très bien compris que les 2 bateaux de la compagnie IMTC sont Vieux , dangereux ,qu'ils sont mal assurés et qu'ils sont + lents. Il n'empêche que je vais traverser sur les 2 navires de cette compagnie et que je dirais sur le forum ce que j'en pense. Les adhérents du forum,adultes pour la plupart,feront ce qu'ils veulent. Avec toute mon amitiés. jaje 13
Bonsoir Dan,
ce renseignement m'est parvenu par un ami marocain ancien secrétaire d'état du ministère de l'intérieur.
Alors route ou fer?
Techniquement le principe routier serait aussi faisable et éviterait la rupture de charge. Le système fonctionnerait un peu comme actuellement dans le tunnel du Mont Blanc : vitesse réglementée et distance entre les véhicules.
Quant aux problèmes de pollution ils seront réglés d'ici 2025.
Je reste méfiant comme beaucoup de Wikipédia dont les sources ne sont pas toujours vérifiées ou vérifiables, et proviennent pour la plupart d'organes de presse pas forcément scientifiques ou fiables.
Exemple : j'ai lu sur cette pseudo encyclopédie libre, des propos "à coté de la plaque" concernant un cousin compositeur connu de musique. Il s'en amuse d'ailleurs.
Amicalement.
Alain
Oui Alain, je sais bien que Wikipédia ce n'est pas la messe (comme on dit chez moi) mais à travers les journaux et revues divers que j'ai pu parcourir sur le net, il n'est jamais question de tunnel routier !
Alors ???? Comme tu dis "route ou fer" ? ... Wait and see ! je ne sais pas le dire en arabe !
Voici quelques infos sur les compagnies marocaines:sur Yabiladi.com
Transport Maritime : Si rien n’est fait, il n’y aura plus de bateaux marocains dans 5 ans
Publié le 11.03.2013 à 19h37 | Par Ristel Edimo
La pérénité du pavillon marocain est plus que jamais menacée. Après les déboires de la Comarit, la poursuite des activités sur le secteur relève désormais de la survie. Le PDG de l'IMTC [International maritime transport corporation] regrette que l'Etat ne soit pas allé jusqu'au bout pour sauver l'entreprise fondée par Ali Abdelmoula.
« Soyez sûr, si le Maroc ne fait rien, il n’y aura plus de bateaux battant pavillon marocain d’ici cinq ans », déclare le commandant Mohamed Karia, PDG du groupe IMTC, dans une interview accordée à L’Economiste. Après les saisies des bateaux de la Comarit, la flotte marocaine ne compte plus que 17 bateaux environ dont 12 appartenant à IMTC, contre près de 70 dans les années 1980. Le secteur du transport maritime au Maroc va mal. Et la situation a commencé à se dégrader en 2007, date d’entrée en vigueur de l’open sea. « La libéralisation a été menée, sans mise à niveau de l’armateur marocain », regrette M. Karia.
L’offre, plus importante que la demande
Aujourd’hui, les quelques rares armateurs qui résistent encore à la crise font face à un défi de taille : la concurrence de l’aérien low cost. Et c’est surtout les MRE qui optent désormais pour ce moyen de transport au détriment du maritime. Selon le commandant Karia, IMTC, par exemple, chargeait auparavant entre 1 300 et 1 400 passagers et 400 voitures. Aujourd’hui, l’armateur doit se contenter de quelques 400 passagers en moyenne et 150 à 200 voitures. L’été dernier, malgré toute l’opération lancée par le ministère en charge des Marocains résidents à l’étranger, « aucun navire n’a affiché complet », affirme le patron de IMTC. C’est dire à quel point le transport maritime au Maroc est en berne.
La crise de la Comarit a enfoncé le secteur
La crise de la Comarit n’a fait qu’enfoncer le secteur. Les fournisseurs de fuel, de nourritures et de pièces de rechange n’ont plus confiance. « Avant, nous bénéficions de plus de flexibilité de la part des fournisseurs, l’encours consenti pour le combustible atteignait huit millions de dollars », indique le commandant Karia, ajoutant qu’il faut désormais « payer cash ». « Nos fournisseurs déclarent qu’ils ne peuvent plus nous faire crédit car leur trésorerie ne peut suivre, suite aux pertes essuyées avec la Comarit », explique le dirigeant.
De l’autre côté, les banques ont mis les verrous. Il devient de plus en plus difficile pour les armateurs d’obtenir des crédits, toujours à cause des pertes subis par plusieurs établissements suite à la crise de la Comarit. Or la hausse du prix du fuel combiné à la baisse d’affluence des voyageurs met les opérateurs dans une situation difficile. Face à cela, la tendance est aux petits bateaux.
Pour le PDG d’IMTC, l’Etat devrait urgemment réagir pour sauver la flotte nationale. Il estime que l’Etat a fait une erreur en abandonnant le sauvetage de la Comarit. La compagnie, grâce au redressement judiciaire, peut reprendre ses activités depuis peu. Mais jusqu'à présent, elle n'a toujours pas communiquer sur la manière dont elle s'y prendra. Et la réalité que connait le secteur en ce moment pourrait rendre la reprise de la Comarit difficilement envisageable
Bonjour,
le PDG de la IMTC oublie de dire que ses bateaux et ceux de la Comarit sont pratiquement des poubelles hors normes européennes.
Le Biladi par exemple tombait régulièrement en panne de machines entre Sète et Tanger.
Les compagnies espagnoles sont dans les plots surtout avec les catamarans.
Bonsoir JAJE
Tu devais prendre la compagnie I M T C pour la traversée et nous faire part de ton impression sur cette compagnie et celle des bateaux
Je n'ai pas vue tes commentaires ou j'ai loupé un épisode
Merci pour tes renseignements
CISSEY
Nous n'avons plus de nouvelle de Jean depuis début février, ce qui devient inquiétant.
Je vous rassure, j'ai croisé Jaje 13 à l'embarquement vendredi dernier. Il était en pleine forme me semble-t-il, mais pas très satisfait, comme nous tous de Tanger Med. Scanner en panne, nous avons "poiroté" 3 heures pour enfin pouvoir embarquer. Je vous dis pas le le B....L, enfin ce qui compte c'est d'avoir passé un bon séjour, d'être enfin en Europe, 55 jours de soleil sans une goutte de pluie c'est dur !!!!!!!
Cdt à ts
Bonjour à toi Baladin et merci de nous rassurer sur la bonne santé de Jean...
En effet tu vas être surpris si cela ne s'arrange pas très vite, ici nous sommes toujours en plein hiver...
Bonne rentrée.
Merci Lucien de "t'inquiéter" de mon silence.C'est seulement aujourd'hui que je regagne mes "pénates" après avoir lézardé au Portugal. Contrairement à mon souhait je n'ai pas pu traversée par IMTC pour une raison "indépendante de ma volonté" comme il est coutumier de l'entendre :le personnel navigant de cette société marocaine de transport était en grève depuis 48 heures .Néanmoins le guichet IMTC au port d"Algésiras à confirmé le prix de 98 euros aller/retour open pour 1 camping car + 2 personnes mais.......... quand ils ne sont pas en Grève.
Concernant la "qualité" des deux bateaux peut-être que Baladin qui a fait les traversées aller/retour avec cette compagnie pourrait nous donner son avis.
J'ai donc traversée par la compagnie Balaria mais je n'ai pas prix le billet chez GUTT mais sur le port au prix de 120 euros aller /retour 1 camping car +2 personnes date de retour fixe et non open. Pour moi qui me rends en Corse plusieurs fois par ans en bateau cela ne me pose aucun soucis de prévoir ma date de sortie . Si Gutt dispose de ce type de billet en 10 ans il ne l'a jamais proposé.
La traversée aller effectuée chez Balaria avec ses bateaux rapides a durée 1h45 minutes et à bord seul un petit quart du bateaux était autorisé,quel confort, le reste étant interdit au passagers .
La traversée retour tjs chez Balaria a durée 11(onze) heures pour cause de suppression de celle de 16 heures ,vraisemblablement pour economiser un voyage ,avec report sur celle de 23 heures . Le bateau a charger des remorques de camions jusqu'à 1 heures du matin tant et si bien que nous sommes arrivés au parking LIDL à 3 heures 30 du matin . Je précise que l'année dernière on m'a joué la même partition .J'oubliais de préciser que, comme à l'aller, seul un petit quart du bateau était autorisé aux passagers.
Pour finir un mot sur l'organisation du port de Tanger Med: En ce jour de retour le Bordel etait Incommensurable et Baladin que j'ai croisé ce jour là pourra confirmer .Pourtant ce n'est pas faute de personnel car j'ai pu compter seulement au point stratégique où se trouve le scanner 33 (trente trois) personnes pour régler la circulation de ce "flot" de passager sur un tronçon de route à deux voies.Il est vrai que Tanger Med est un port International et qu'il y avait au moins trois bateaux en partance.
bonjour Jean,
mais tu n'as pas vraiment ramé, c'est le principal.
Comme je te l'expliquais avant ton départ, je connais bien les deux bateaux IMTC : le Rif et l'Atlas sur lequel le second m'apprenait à piloter.
Cette compagnie est en fâcheuse position depuis quelques années avec ces "rafios" poubelles.
Pour ce qui est des traversées aller-retour, Gutierrez a toujours proposé des billets open, il ne peut faire autrement du fait qu'il les achète à l'année (comme les tours opérateurs pour les avions ou les places d'hôtels par ex.) à date fixe il y a toujours un risque.