Succulent ce poème.
Posté : 06 nov. 2015, 12:03
Il n'est pas question pour moi, ici de juger le fond, mais j'ai apprécier le comique de ce poème.
> > POEME Québécois......un régal.
> > C’est un régal ! on avait déjà eu des poèmes,
> > je n’avais pas connaissance de celui-ci , bravo à l'auteur .
EXCELLENT POÈME TRANSMIS PAR NOS "COUSINS"DU QUÉBEC
> > > Comme une bénédiction, le pouvoir présidentiel
> > Aiguise bien souvent, l’appétit sexuel.
> > > L’Élysée, ce palais, est une cage dorée
> > Et pour s’en échapper, il a voulu ruser.
> > > Voilà que, titillé par une envie pressante,
> > > Grassouillet est allé retrouver son amante.
> > > Hélas ! Un photographe par le scoop alléché,
> > > Du haut de son balcon, a pris quelques clichés.
> > > Ainsi, on a pu voir pépère emmitouflé,
> > > A l’arrière d’un scooter, négligemment casqué
> > > La France est médusée, les Français sont perplexes,
> > > Il est donc lui aussi un abonné du sexe ?
> > > On avait échappé aux frasques de D.S.K.
> > > Voilà que l’Élysée nous offre un autre cas ....
> > > Il n’a pas, on le voit, l’allure d’un Apollon,
> > > Mais l’efficacité d’un fougueux étalon
Tous ses vibrants discours n’étaient que du bidon,
> > La posture du dindon cachait un Cupidon.
> > > Entre deux « commissions » il s’en allait baiser,
> > > Le monde, pendant ce temps, nous ridiculisait.
> > > De Tulle jusqu’à Paris, de Paris jusqu’à Tulle
> > Elles se sont succédées pour que Monsieur copule.
> > > Maîtresses d’un instant, elles ne perdent pas au change,
> > > Favorites pour un temps, ensuite elles engrangent.
> > > Ségolène, à la banque, est bien sûr à l’abri,
> > > Il a casé Anne à la mairie de Paris.
> > > Finie la vie en rose avec sa Valérie,
> > > Il faudra lui trouver un juteux petit nid.
> > > Un carmel, un couvent, une belle abbaye ?
> > > Afin d’éliminer une encombrante furie.
> > Il est parti à Rome, prendre l’avis d’un sage,
> > > Et pour aussi, bien sûr, redorer son image.
> >
> > > Le p’tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
> > > Nous dire qu’il était NUL, qu'on s'était fait avoir
> > > Que si le blé manquait, c'était pas de sa faute
> > > Que tout son poulailler dansait d'une patte sur l’autre,
> > > Grattait de ci de là, pondait des coquilles vides
> > > Plaçait tous leurs copains inutiles et avides
> > > De ne jamais rien faire, à part un peu de lard
> > > Que si l’on voulait bien, il n'était pas trop tard
> > > Pour mettre notre pays au niveau de la GRECE
> > > Et que de toute façon nous l'aurions dans… les fesses.
> > > Le p’tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
> > Les plumes en bataille, toujours reteintes en noir
> > > Nous dire : bande d'imbéciles, ne perdez pas espoir
> > > J'ai coulé la CORREZE, je n'en tire nulle gloire.
> > > Patientez, patientez car je suis-là maintenant bons emplacements. m'aide constamment
> > > Les quarante inutiles s'appliquent à tous moments.
> > > Et pendant ce temps-là, je m'occupe des poules
> > > Qui tournent autour de moi, vraiment, il y a foule !
> > > Le p’tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
> > > Dressé sur ses ergots du haut de son perchoir
> > > Fustigeant les rapaces, ses vils prédécesseurs
> > > L'empêchant lui et ses copains de faire leur beurre !
> > Le jabot de travers toujours évidemment
> > > Il aurait bien voulu se faire croire compétent.
> > > Bien d'accord sur ce mot, en le coupant en deux
> > > Sachant depuis longtemps qu'il nous restait les yeux
> > > Pour pleurer sur la FRANCE, vidée, exsangue et nue
> > > Par tous ces incapables, vivants comme des sangsues.
> > Le p’tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
> > Il peut lisser ses plumes, vous vous êtes faits avoir.
> > Si l'important pour lui, ce n'est pas le chômage
> > > Il a bien trop à faire pour bouffer le fromage
> > > En s'occupant des gay, des drogués, et puis des émigrés
> > > Il faut bien sûr maintenant taxer les retraités
> > > Ceux qui ont voté pour lui, c'est bien pour leur malheur
> > > Il en a rien à foutre de tous les électeurs
> > > Maintenant qu'il a la place, il y met tout son cœur
> > > Pour vivre sur notre dos, comme toujours en douceur
> > > Le p'tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
> > >Il dit qu'il nous enfume, qu’on est de bonnes poires
> > Qu'ils allaient nous presser comme de vulgaires citrons
> > > C’est bien fait pour notre gueule puisqu'on est assez con
> > > Pour croire toutes les promesses qu’il ne veut plus tenir
> > > Il n'y avait pas de crise, il l’a pas vu venir…
> > > Le p'tit coq nain de TULLE est un triste vautour
> > > Il s'est bien déguisé sous de jolis atours.
> > > Il voudrait nous faire croire qu’il était SOCIALISTE,
> > > Quand lui et ses copains sont tous CAPITALISTES.
> > > Alors, n'attendez rien de ces tristes fumistes
> > > Que des IMPOTS nouveaux ajoutés à la liste
> > POEME Québécois......un régal.
> > C’est un régal ! on avait déjà eu des poèmes,
> > je n’avais pas connaissance de celui-ci , bravo à l'auteur .
EXCELLENT POÈME TRANSMIS PAR NOS "COUSINS"DU QUÉBEC
> > > Comme une bénédiction, le pouvoir présidentiel
> > Aiguise bien souvent, l’appétit sexuel.
> > > L’Élysée, ce palais, est une cage dorée
> > Et pour s’en échapper, il a voulu ruser.
> > > Voilà que, titillé par une envie pressante,
> > > Grassouillet est allé retrouver son amante.
> > > Hélas ! Un photographe par le scoop alléché,
> > > Du haut de son balcon, a pris quelques clichés.
> > > Ainsi, on a pu voir pépère emmitouflé,
> > > A l’arrière d’un scooter, négligemment casqué
> > > La France est médusée, les Français sont perplexes,
> > > Il est donc lui aussi un abonné du sexe ?
> > > On avait échappé aux frasques de D.S.K.
> > > Voilà que l’Élysée nous offre un autre cas ....
> > > Il n’a pas, on le voit, l’allure d’un Apollon,
> > > Mais l’efficacité d’un fougueux étalon
Tous ses vibrants discours n’étaient que du bidon,
> > La posture du dindon cachait un Cupidon.
> > > Entre deux « commissions » il s’en allait baiser,
> > > Le monde, pendant ce temps, nous ridiculisait.
> > > De Tulle jusqu’à Paris, de Paris jusqu’à Tulle
> > Elles se sont succédées pour que Monsieur copule.
> > > Maîtresses d’un instant, elles ne perdent pas au change,
> > > Favorites pour un temps, ensuite elles engrangent.
> > > Ségolène, à la banque, est bien sûr à l’abri,
> > > Il a casé Anne à la mairie de Paris.
> > > Finie la vie en rose avec sa Valérie,
> > > Il faudra lui trouver un juteux petit nid.
> > > Un carmel, un couvent, une belle abbaye ?
> > > Afin d’éliminer une encombrante furie.
> > Il est parti à Rome, prendre l’avis d’un sage,
> > > Et pour aussi, bien sûr, redorer son image.
> >
> > > Le p’tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
> > > Nous dire qu’il était NUL, qu'on s'était fait avoir
> > > Que si le blé manquait, c'était pas de sa faute
> > > Que tout son poulailler dansait d'une patte sur l’autre,
> > > Grattait de ci de là, pondait des coquilles vides
> > > Plaçait tous leurs copains inutiles et avides
> > > De ne jamais rien faire, à part un peu de lard
> > > Que si l’on voulait bien, il n'était pas trop tard
> > > Pour mettre notre pays au niveau de la GRECE
> > > Et que de toute façon nous l'aurions dans… les fesses.
> > > Le p’tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
> > Les plumes en bataille, toujours reteintes en noir
> > > Nous dire : bande d'imbéciles, ne perdez pas espoir
> > > J'ai coulé la CORREZE, je n'en tire nulle gloire.
> > > Patientez, patientez car je suis-là maintenant bons emplacements. m'aide constamment
> > > Les quarante inutiles s'appliquent à tous moments.
> > > Et pendant ce temps-là, je m'occupe des poules
> > > Qui tournent autour de moi, vraiment, il y a foule !
> > > Le p’tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
> > > Dressé sur ses ergots du haut de son perchoir
> > > Fustigeant les rapaces, ses vils prédécesseurs
> > > L'empêchant lui et ses copains de faire leur beurre !
> > Le jabot de travers toujours évidemment
> > > Il aurait bien voulu se faire croire compétent.
> > > Bien d'accord sur ce mot, en le coupant en deux
> > > Sachant depuis longtemps qu'il nous restait les yeux
> > > Pour pleurer sur la FRANCE, vidée, exsangue et nue
> > > Par tous ces incapables, vivants comme des sangsues.
> > Le p’tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
> > Il peut lisser ses plumes, vous vous êtes faits avoir.
> > Si l'important pour lui, ce n'est pas le chômage
> > > Il a bien trop à faire pour bouffer le fromage
> > > En s'occupant des gay, des drogués, et puis des émigrés
> > > Il faut bien sûr maintenant taxer les retraités
> > > Ceux qui ont voté pour lui, c'est bien pour leur malheur
> > > Il en a rien à foutre de tous les électeurs
> > > Maintenant qu'il a la place, il y met tout son cœur
> > > Pour vivre sur notre dos, comme toujours en douceur
> > > Le p'tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
> > >Il dit qu'il nous enfume, qu’on est de bonnes poires
> > Qu'ils allaient nous presser comme de vulgaires citrons
> > > C’est bien fait pour notre gueule puisqu'on est assez con
> > > Pour croire toutes les promesses qu’il ne veut plus tenir
> > > Il n'y avait pas de crise, il l’a pas vu venir…
> > > Le p'tit coq nain de TULLE est un triste vautour
> > > Il s'est bien déguisé sous de jolis atours.
> > > Il voudrait nous faire croire qu’il était SOCIALISTE,
> > > Quand lui et ses copains sont tous CAPITALISTES.
> > > Alors, n'attendez rien de ces tristes fumistes
> > > Que des IMPOTS nouveaux ajoutés à la liste