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Bonne préparation et bon voyage au Maroc.
J'espère avoir le plaisir de vous lire prochainement sur nos écrans !
Bonjour les amis .
C'est super ......je suis à 30 km de Sidi Ifni , il y a de jolies plages dans les environs , notamment Legzira à voir absolument ....même si une des arches s'est écroulée , cette plage a gardé son charme .
Amicalement , Maryvonne
Ps : rien de tel que le régulateur de vitesse ...
Comme je vous envie d'être au camping Sidi Ifni, celui où je me pose avec mon mari lorsque nous allons là-bas.
Mais que cela fait drôle de le voir si vide. Profitez bien de votre séjour.
Et encore merci pour ces nouvelles photos.
Dimanche 7 mai 2017 : Sidi Ifni – Tafraoute
En partant nous faisons le tour de la ville pour voir la ville espagnole décrite dans le guide. Mais de ville espagnole point ne voyons. Il y a quelques beaux édifices marocains, comme l’hôpital, le centre administratif ou les bâtiments de la police.
Nous retournons vers Tiznit puisque nous avons atteint le point le plus au sud de notre périple. Nous prenons la direction de Tafraoute. Le paysage change et devient vraiment désertique, alors qu’entre Tiznit et Sidi Ifni il y avait beaucoup de cultures. Cela semblait désertique mais cela était du au fait que les blés avait été moissonnés. La route monte dans la montagne par des gorges et des défilés ocre, nous montons jusqu’à 1100 mètres au col de Kerdous par une belle route, pas très large mais suffisamment pour pouvoir croiser les autres véhicules. Bien sur il n’est pas possible de s’arrêter pour prendre des photos, la route est trop étroite. Puis nous redescendons vers Tafraoute et brusquement la route devient très étroite, il n’est pas possible de croiser un autre véhicule sans mordre sur le bas côté, mais il ‘y en a pas partout du bas coté ! Nous arrivons à Tafraoute au milieu de chaos de granit rose. C’est magnifique. Quand nous serons installés et qu’il fera un peu moins chaud j’irai faire quelques photos. Actuellement il fait 36°, ce matin sur la cote à peine 20°. Quel changement.
Le camping que j’avais choisi, le Granit Rose, est fermé, nous continuons vers le centre, faisons demi-tour et revenons vers le Tazca qui est ouvert. Le propriétaire du Granit Rose propose d’ouvrir son camping rien que pour nous. Je décline son offre et m’installe au Tazca. Il n’y a qu’un seul autre camping-car. En cette saison les campings ne sont pas surchargés. Plus tard un groupe de 4x4 français arrive et s’installe. Ce sont des Chambériens, le monde est petit. Nous suivons les informations et apprenons le résultat du vote : Macron président. Puis nous allons manger au restaurant du camping : salade marocaine, brochettes de poulet avec des légumes et de l’eau. Heureusement je peux apporter ma ration de vin dans ma bouteille.
Nous allons nous coucher et il fait toujours aussi chaud.
Lundi 8 mai 2017 : Tafraoute – Tata
Après une nuit chaude, il a fallu attendre deux heures du matin pour avoir une température acceptable, nous partons vers Tata. Nous prenons la route qui passe par la vallée des Almen, puis emprunterons la route qui passe par le Tizi-N-Tarakine, un col à 1500 mètres d’altitude, puis nous finirons par la palmeraie de Tagmout.
Au départ tout va bien, la route est belle. Nous admirons les formations rocheuses. Nous doublons un cycliste couché qui râle parce qu’il a crevé. Un peu plus haut nous en croisons deux autres qui attendent, et je leur donne des nouvelles de leur ami. Il ont tous trois un peu maillot rouge. Mais en continuant la montée nous en doublons beaucoup d’autres et quand nous arrivons à lire ce qui est sur leur maillot nous lisons « course de la citoyenneté ». Et nous en doublons beaucoup sur la route du col, et ça monte dur. Nous les plaignons un peu mais après tout ils ont fait le choix de courir sous cette chaleur. Au col la voiture de ravitaillement les approvisionne en eau. Nous attaquons la descente, toujours avec de magnifiques paysages granitiques, et nous laissons nos coureurs qui continuent sur la gauche vers d’Agadir tandis que nous bifurquons à droite vers Tata. Bien vite nous regrettons notre choix. La route se rétrécit, se transforme à certains moments en piste. On ne peut plus croiser un autre véhicule sans rouler sur le bas-côté. Heureusement il y a peu de circulation et les paysages désertiques nous enchantent. Finalement la piste est meilleure que la route car au moins il n’y a pas de trous. Nous rencontrons un phénomène inhabituel : plus nous montons plus la température monte. Cela doit être du au fait que nous sommes plus près du soleil, ou peut-être à une inversion de température. De toute façon depuis le départ où il faisait 22° elle monte allègrement à 38°.
Nous faisons de nombreuses haltes « à la marocaine », c'est-à-dire sur la route, pour prendre des photos. Ce désert de pierre est splendide. Les villages sont très typiques, en pisée de la même couleur que la terre des alentours. Nous nous trompons de route une fois, et c’est dommage car cette dernière me paraissait belle. Mais non je reprends ma vieille route cabossée. Nous rencontrons de nombreux troupeaux de moutons ou de chèvres qui trouvent que la route est un endroit bien agréable pour se reposer.
Puis nous descendons dans une vallée qui est une immense oasis. La route est toujours aussi étroite, traverse de nombreuses fois la rivière par des passages submersibles en très mauvais état. Quand on qualifie la route normale de mauvais état, n’essayons même pas d’imaginer ce que peut être une route en très mauvais état. Par contre il fait plus frais dans cette vallée. Dans un virage nous évitons de justesse un accident avec une fourgonnette qui transporte des passagers. Heureusement que je ne vais pas vite et que je peux aller sur le bas-côté, et que l’autre véhicule, qui lui roulait vite, fait de même de son coté. Mais il doit être traumatisé, à moins que cela ne soit ses passagers, car il met un grand moment pour repartir.
Après une dernière traversée de désert nous arrivons à Tata. Le camping municipal à l’air fermé et il est vide. Je décide donc d’aller au nouveau camping qui est un peu plus loin du centre ville, mais contrairement au municipal où on stationne en plein soleil et sur une dalle de béton, permet le stationnement sur des graviers et surtout à l’ombre de grands palmiers. Le gérant du municipal essaye bien de nous rattraper mais j’ai fait mon choix.
Le camping des palmiers est bien plus frais, et comme la température est maintenant de 42° nous apprécions l’ombre. Ce soir il fait encore chaud, vivement la France et sa froideur.
Merci et encore merci pour ces nouvelles et ces photos, j'ai l'impression d'y être revenue.
Le camping de Tazka est un sympathique camping que nous avions bien aimé.
Ne soyez pas trop pressés de rentrer en France, car nous ici on aimerait bien quelques degrés de plus.
Bonne continuation.
Mardi 9 mai 2017 : Tata – Ouarzazate
Et oui, changement de programme. Après une nuit caniculaire, après avoir fait 42° hier la température n’est descendue qu’36° cette nuit, nous avons appris qu’à Zagora la température était de 50° et qu’en plus il y avait une tempête de sable. Du coup nous préférons filer vers Ouarzazate. La première partie du trajet se passe bien au milieu d’une immense vallée désertique. Seul petit évènement qui rompt la monotonie une voiture nous double et nous la retrouvons dix minutes plus tard en travers de la route. Le conducteur s’est endormi et a fait un tonneau. La Kangoo est une voiture solide et les passagers s’en tirent avec une grande peur et quelques coupures dues aux vitres qui ont toutes explosées. Le conducteur décline notre offre d’aide car il a déjà téléphoné à un dépanneur. Nous continuons notre route et passons Foum Zguid, bien connu d’un certain Jean-Marie qui y a passé quelques temps à casser des cailloux il y a bien longtemps. La route monte vers la montagne et nous doublons quelques camions qui se traînent dans les côtes. Mais comme nous nous arrêtons pour manger ils nous dépassent tous. La route continue et longe le lit d’un oued. Hélas cet oued a débordé de son lit cet hiver, emportant la route sur une bonne dizaine de kilomètres. Et la route s’est transformée en une piste. Nous sommes bloqués en plus par les nombreux camions qui nous ont dépassés et que nous ne pouvons pas doubler. Au bout d'un moment la route emprunte un paysage où l me semble reconnaître des orgues volcaniques, des dykes et des coulées de lave. Après consultation d’Internet nous avons traversé le Djebel Siroua, un strato-volcan. Un peu avant Ouarzazate nous sommes de nouveau arrêtés par un accident, un camion s’est renversé. Mais comme il y a déjà du monde sur place nous continuons notre chemin. Nous arrivons au camping et nous installons. La chaleur est supportable mais le vent assez violent.
En voulant mettre notre Internet nous avons un message qui nous indique que notre forfait est dépassé. J’en suis étonné car j’ai pris un forfait de données valable dix jours. E décide donc d’aller à l’agence Maroc Telecom la plus proche. Je demande mon chemin et on me le donne en m’indiquant que c’est loin, au moins deux kilomètres. Je décide quand même d’y aller à pied. Deuxième questionnement d’un passant qui m’indique par où passer et me dit toujours que c’est loin. Enfin troisième personne interrogée et là c’est juste la rue à droite, tout à coté. Effectivement je trouve l’agence et y pénètre. J’interroge une personne de l’agence, on dirait le chef, me dit que ma carte est une carte 2 Go et que ce qui est illimité c’est que je dois consommer ces 2 Go en dix jours, pour avoir plus il faut recharger ma carte.
Il qui prend ma carte, demande des renseignements à un employé qui a un ordinateur et marque un numéro sur ma carte, me disant d’aller à la boutique Maroc Telecom qui est de l’autre coté de la rue. A priori on ne peut pas recharger sa carte à l’agence, ce que j’avais déjà constaté à Tanger. Je traverse donc la rue, demande à recharger ma carte et on m’annonce que je dois aller à la librairie pour le faire. Bizarre, bizarre. Je vais donc à la librairie où charmante dame s'occupe de moi, ou plutôt de ma carte. Elle téléphone à quelqu’un qui arrive dix minutes plus tard avec une carte de recharge de 5 Go pour cinquante dirhams, la dame faisant le nécessaire. Pendant ce temps je questionne la personne qui a apporté la carte et qui m’explique gentiment que je me suis fait arnaquer, j’aurai du avoir une carte de 100 Go pour 210 dirhams, mais la préposée de Mohammedia ne devait plus en avoir et m’a fourguée n’importe quoi. Enfin ce n’est pas grave j’ai ma recharge et je sais comment faire pour la prochaine fois Je reviens au camping toujours à pied. Finalement, vu le temps de marche, j’ai bien du faire huit kilomètres.
Le soir nous avons la visite d’Hassan qui vient nous proposer l’excursion de demain. Départ à neuf heures, retour à dix huit heures avec repas au milieu, en véhicule privatif, le tout pour mil quatre cent dirhams. Pas trop cher pour la prestation, même si ce n’est pas donné. On verra demain.
Fichiers joints
C'était un pont avant les crues
Comment faire de la piste en camping-car : aller de Foum Zguid à Ouarzazate par la route
Mercredi 10 mai : les gorges du Dades
La nuit a été « fraîche ». Il a fait entre 20° et 25°. Le vent est tombé et le ciel un peu chargé au matin. Nous nous préparons de bonne heure, heureusement car notre guide est là dès huit heures trente.
Nous partons dans un beau 4x4 Toyota presque neuf, direction Er Rachidia. Après une cinquantaine de kilomètres sur la route nous prenons une piste et faisons un grand tour dans une belle palmeraie. Nous faisons un arrêt à Skoura pour faire quelques achats : eau de rose et quelques onguents et pommades qui, parait-il, feront que j’aurai une nouvelle femme sous peu de temps.
Après un moment nous attaquons de nouveau une piste en plein désert. Nous faisons une halte pour visiter l’habitat troglodyte de nomades berbères qui nous offrent le thé. C’est un accueil bien sympathique avec le guide qui fait l’interprète. Nous reprenons la piste qui est en très mauvais état mais le 4x4 est fait pour ça, bien que cela secoue beaucoup.
Nous prenons la route des gorges et nous arrêtons pour manger dans une maison d’hôte familiale. Le repas est bon, salade marocaine bien fraîche et rafraîchissante en entrée, tagine de poulet aux oignons et aux citrons ensuite et pour finir une délicieuse orange à la cannelle. Nous continuons ensuite, toujours par des paysages grandioses, en particulier les pattes de singe si particulières, on peut admirer le système géologique avec des plans quasiment verticaux en rive gauche et des plans à plat en rive droite. On comprend que le Dades est passé par la ligne de moindre résistance. PS pour JMP : j’ai bien retenu ma leçon, non ?
Nous traversons les gorges et reprenons le chemin du retour, toujours à travers des gorges. Puis de nouveau la route Ouarzazate – Er Rachidia, mais dans l’autre sens. Skoura est en pleine préparation de la fête des roses qui doit avoir lieu le 13 mai, ce que j’espère car demain nous empruntons la même route pour aller à Tinghir.
Nous voyons que l’horizon à l’air chargé et bientôt nous sommes pris dans une belle tempête de sable avec un vent épouvantable. Heureusement ce n’est pas moi qui conduit, mais j’espère que tout sera calmé demain. Finalement la tempête se calme vers Ouarzazate et nous arrivons avec un vent modéré. Nous retournons au camping-car bien contents mais aussi bien fatigués.
Le soir la température est de nouveau clémente mais le vent se lève.
Les photos suivront après en fonction de la rapidité de la liaison
Jeudi 11 mai 2017 : Ouarzazate – Tinghir – et finalement Gourmina
D’abord une correction. La principale fête des roses est à El Kelaa M'Gouna et non pas Skoura, et c’est à El Kelaa M'Gouna que nous avons acheté les produits miracle. De plus la fête des roses a bien commencé hier.
La nuit a été très fraîche et au matin il faisait à peine 15°. C’est facile de se couvrir quand il fait froid, alors on a mis en pratique. Le départ a été long car il coulait un petit filet d’eau au robinet et je n’ai pas pu remplir mon réservoir, on verra demain matin pour compléter le plein.
Nous commençons par faire un petit tour chez Aswak, une petite superette, pour acheter quelques produits qui nous manquent, puis on prend la route de Er Rachidia. La route ne présente pas beaucoup d’intérêts, cheminant dans l’immense lit d’une rivière, je pense que c’est l’Oued Draa. En arrivant à El Kelaa M'Gouna nous sommes déviés, le centre ville est interdit à la circulation pour cause de fête des roses. Il y a une particularité dans cette ville, le rose domine, et c’est même la couleur des taxis. C’est très beau.
Nous mangeons à la sortie de la ville, un repas assez banal, mais nous sommes dans une région touristique. Ce n’est pas une excuse mais une explication. Nous continuons dans cette immense vallée jusqu’à Tinghir où nous prenons la route des gorges du Todra et nous garons sur le parking de l’entrée des gorges, coût cinq dirhams, soit cinquante centimes, c’est donné.
Nous nous engageons dans les gorges qui sont beaucoup plus belles que celles du Dades. Par contre elles sont remplies d’échoppes qui vendent des produits locaux, de voitures garées n’importe où, de véhicules qui vont et qui viennent. Cela gâche un peu la beauté des gorges. Il y a également quelques personnes qui font de l’escalade.
Nous reprenons notre chemin et arrivé devant le camping où nous comptions nous installer nous constatons qu’il est en pente et que cela va être dur de dormir droit. De plus comme seuls les imbéciles ne changent pas d’avis, et que je ne dois pas en être un vu le nombre de changements que je fais par rapport aux prévisions, nous décidons de continuer vers Er Rachidia, il y a quelques camping en chemin et nous en choisirons un.
Le premier que nous rencontrons est en travaux, c’est un peu normal puisque nous sommes en intersaison et qu’ils en profitent pour faire les travaux de remise en état. En roulant nous longeons une magnifique tempête de sable que nous traversons au bout d’un moment. Le camping suivant, à Goulmina est finalement le bon. Nous nous installons. Nous ne sommes que deux camping-cars. En sortant je reconnais l’autre camping-cariste, nous nous sommes rencontrés à Safi. Le Maroc est bien petit. Mais nos chemins vont de nouveau se séparer puisque demain ils vont à Merzouga et que nous allons à Midelt. Ce soir le vent souffle fort mais heureusement il n’y a pas de tempête de sable. J’espère que la température actuelle, 34°, va baisser pendant la nuit.
Bien beau paysage que les gorges du Todra et je suis d'accord avec vous que toutes ces échoppes et voitures
gâchent le paysage. Lorsque je les avais faites la 1ère fois en 2004 tout cela n'y était pas et c'était bien plus joli.
Mais bon, avec les années beaucoup de choses ont changé au Maroc et pas forcément en mieux pour certaines.
Vendredi 12 mai 2017 : Goulmina – Azrou
Ce matin il fait presque froid, pas plus de 20°. Comme quoi le froid et le chaud sont relatifs et on s’habitue à l’un comme à l’autre. Nous prenons le départ vers Er Rachidia, toujours par les vallées du Dades et du Todra. La route comme la veille est sans grand intérêt, au fond d’une immense vallée. Passé Er Rachidia nous remontons la vallée du Ziz, beaucoup plus intéressante. Nous passons dans de belles gorges, avec une immense palmeraie en fond de vallée. Nous passons à un moment le tunnel des Légionnaires, dans lequel je manque d’accrocher un cycliste sans lumière que je n’ai pas vu. C’est Monique qui me dit que je l’ai raté. Il faut dire que ce tunnel est très sombre et qu’il y avait des voitures en face. La photo prise par Monique du tunnel avec un fort agrandissement me montre effectivement ce cycliste. Comme on n’a entendu aucun bruit on peut estimer qu’il n’a pas été accroché.
A Midelt nous passons par le camping municipal, mais il ne nous inspire pas, aussi nous continuons vers Azrou. A midi nous mangeons dans un restaurant au bord de la route. La viande est achetée chez le boucher qui est installé devant le restaurant, à chacun son travail.
Nous repartons et le paysage change, nous quittons le désert pour passer dans un paysage qui ressemble à notre Massif Central. Les pins commencent à apparaître, le sol devient vert, les rivières coulent. Nous traversons de magnifiques coulées de lave et voyons même quelques volcans, dont un très beau cratère à moitié effondré. Puis ce sont les forêts de cèdres et de chênes. Sur le coté de la route nous voyons une quantité impressionnante de chiens qui attendent on ne sait quoi. Ils n’ont pas l’air agressifs, ils sont de toutes races, dont des beaux chiens de l’Atlas proches du Patou des Pyrénées. Ce sont des chiens errants, et ils se comptent par dizaine. Monique aperçoit également ses premiers singes magots, mais je suis trop occupé par la conduite pour me laisser distraire. A Azrou nous optons pour l’Euro Camping, situé dans un hôtel que beaucoup comparent avec raison à Disneyland. Nous sommes seuls dans un camping de 300 places. Inutile de vous dire qu’on prend nos aises. Dans le camping de nombreux cerisiers poussent et on peut se servir à volonté. Au dessert ce soir nous en mangerons. Le vent se lève et il fait frais. A on avis les couettes seront de rigueur cette nuit. Demain nous pensons rester ici pour faire la lessive et nous reposer.
Pour les photos il faudra sans doute attendre demain, ce soir le réseau est beaucoup trop lent
