Voyage de Candide hiver 20/21
Posté : 08 oct. 2020, 18:23
Bonjour
Jour du départ : arrivée à la gare maritime Orsetti (ancienne gare marine Euromer, Comarit et Comanav un peu plus defraichie) pour 14h comme demandé.
L’enregistrement est en haut dans le bâtiment. Une volée de marches impressionnante avec des vigiles qui laissent monter jusqu'au milieu,puis par 3 ou 4, jusqu'à la salle et malgré les vigiles, certains MRE arrivent à se faufiler pour passer devant les autres. Les préposés au guichet examinent tous les papiers demandés : la réservation confirmée, les résultats PCR et serologiques,le billet imprimé la carte grise de la voiture et laissent embarquer tous les passagers qui ont un résultat de test même s'ils ont plus d’une semaine. Un médecin marocain vérifie dans le bateau et tous ceux qui ont plus de 72 h subissent le test de nouveau!
Attente sur le parking. L’embarquement commence à 16 h 30.il y a beaucoup de petits transporteurs français et espagnols, et des marocains venus voir leur famille en France et en Espagne. Ils étaient très heureux de pouvoir repartir chez eux! Aucun camion. Nous montons dans le bateau vers 18h et regagnons nos cabines, grignotons les restes du pique-nique de midi et pensons plus à dormir qu'à regarder la suite de l’embarquement. Nous verrons la pagaille à la sortie. Il y a 4 ponts garages avec plein de petits recoins. Beaucoup étaient soulagés d’être dans le bateau et n’ont pas prêté attention à l’étage où était garé leur véhicule. La sortie s’est faite en reculant et zigzags entre les voitures sans leur propriétaires. Le bateau part à 20 h précises. Arrêt à Barcelone, personne ne descend et personne ne monte!
Deuxième jour : petit déjeuner au self, croissant un peu caoutchouteux et un café presque bon. Aussitôt les annonces commencent : vérification obligatoire des résultats de tests, faire une photocopie des fiches sanitaires qui nous ont été remises et puis les appels répétés pour ceux qui ne sont pas allés voir le médecin. L’infirmier ne chôme pas!
Le lendemain la journée est courte puisque nous devons être au point de rassemblement à 15 h pour la sortie du bateau prévue à 18 h.
Le passage de la police avec la fiche comme avant s’est presque bien passé. Le policier disait ce n’est pas un hôtel, vous ne pouvez pas entrer! Et nous : si c’est hôtellerie de plein air. Il a appelé un chef et nous sommes passés. Les douaniers avaient trop de travail avec les petits transporteurs pour s’occuper de nous.
Finalement un voyage long et fatigant, mais on a gagné le soleil, les fruits et légumes et surtout les sourires des Marocains.
HEUREUX
Jour du départ : arrivée à la gare maritime Orsetti (ancienne gare marine Euromer, Comarit et Comanav un peu plus defraichie) pour 14h comme demandé.
L’enregistrement est en haut dans le bâtiment. Une volée de marches impressionnante avec des vigiles qui laissent monter jusqu'au milieu,puis par 3 ou 4, jusqu'à la salle et malgré les vigiles, certains MRE arrivent à se faufiler pour passer devant les autres. Les préposés au guichet examinent tous les papiers demandés : la réservation confirmée, les résultats PCR et serologiques,le billet imprimé la carte grise de la voiture et laissent embarquer tous les passagers qui ont un résultat de test même s'ils ont plus d’une semaine. Un médecin marocain vérifie dans le bateau et tous ceux qui ont plus de 72 h subissent le test de nouveau!
Attente sur le parking. L’embarquement commence à 16 h 30.il y a beaucoup de petits transporteurs français et espagnols, et des marocains venus voir leur famille en France et en Espagne. Ils étaient très heureux de pouvoir repartir chez eux! Aucun camion. Nous montons dans le bateau vers 18h et regagnons nos cabines, grignotons les restes du pique-nique de midi et pensons plus à dormir qu'à regarder la suite de l’embarquement. Nous verrons la pagaille à la sortie. Il y a 4 ponts garages avec plein de petits recoins. Beaucoup étaient soulagés d’être dans le bateau et n’ont pas prêté attention à l’étage où était garé leur véhicule. La sortie s’est faite en reculant et zigzags entre les voitures sans leur propriétaires. Le bateau part à 20 h précises. Arrêt à Barcelone, personne ne descend et personne ne monte!
Deuxième jour : petit déjeuner au self, croissant un peu caoutchouteux et un café presque bon. Aussitôt les annonces commencent : vérification obligatoire des résultats de tests, faire une photocopie des fiches sanitaires qui nous ont été remises et puis les appels répétés pour ceux qui ne sont pas allés voir le médecin. L’infirmier ne chôme pas!
Le lendemain la journée est courte puisque nous devons être au point de rassemblement à 15 h pour la sortie du bateau prévue à 18 h.
Le passage de la police avec la fiche comme avant s’est presque bien passé. Le policier disait ce n’est pas un hôtel, vous ne pouvez pas entrer! Et nous : si c’est hôtellerie de plein air. Il a appelé un chef et nous sommes passés. Les douaniers avaient trop de travail avec les petits transporteurs pour s’occuper de nous.
Finalement un voyage long et fatigant, mais on a gagné le soleil, les fruits et légumes et surtout les sourires des Marocains.
HEUREUX